Description
Suzuki 125 Stinger État impeccable Moto très rare immatriculée au Royaume-Uni Prête à rouler Suzuki 125 Stinger Moto très rare et très cool Suzuki 125 deux temps, présentée dans un très bel état. Superbe état immatriculée au Royaume-Uni Détails du modèle Personne sur cette planète, pas même les soi-disant experts de la marque, ne peut vous dire pourquoi la Suzuki T125 de 1969 est si totalement et complètement différente de tout ce qui se fait ailleurs sur deux roues. La Suzuki T125 Stinger, parfois appelée Wolf et sporadiquement Flying Leopard, est absolument et catégoriquement différente de tout ce qui existe dans la gamme des modèles de la marque. Bien qu'elle partage quelques pièces avec les autres Suzuki de l'année, une grande partie est tout simplement unique à ce modèle. Le cadre n'est en fait que la moitié d'un cadre et précède de quelques décennies le treillis de Ducati en laissant le moteur exposé de la plupart des côtés autres que les supports moteur. Sans doute n'avait-il pas la stabilité à toute épreuve du châssis italien, mais il était totalement différent de tout ce que les Japonais avaient produit jusqu'alors - enfin presque... En fait, Suzuki a fait grand cas de ce cadre, lui donnant même son propre nom - Triform - et a continué à souligner à la fois sa rigidité et sa légèreté. En même temps que la Stinger était lancée, Suzuki proposait une moto de trail appelée TC120, un monocylindre deux temps de 120 cm3 doté d'une boîte de vitesses à double rapport. Le fait que deux machines aussi différentes l'une que l'autre utilisent le même châssis peut difficilement être une heureuse coïncidence. Aujourd'hui encore, une école de pensée cynique suggère que quelqu'un chez Suzuki central a tout simplement surestimé le nombre de trails qu'il était susceptible de vendre dans le monde entier. Pour transformer la défaite en victoire, les responsables de la recherche et du développement ont été chargés de faire entrer un bicylindre dans le cadre d'un monocylindre, tandis que l'équipe de stylistes a été chargée de trouver un look qui se vendrait comme des petits pains. Le thème général était alors bizarrement présenté comme inspiré du Grand Prix, alors qu'il s'agissait plutôt d'un scrambler de rue. Pour beaucoup, à l'époque comme aujourd'hui, c'est le système d'échappement monobloc de haut niveau qui rend la moto si extraordinairement différente de toutes les autres. Et étrangement, peu importe qu'il s'agisse de la Mk. 1 avec ses tuyaux chromés ou de la Mk. 2 en noir satiné, les deux sont aussi attirantes l'une que l'autre. Beaucoup affirment que la fin des années 1960 et le début des années 1970 ont été l'apogée des stylistes de Suzuki ; peu de gens pourraient raisonnablement prétendre qu'il y a jamais eu un meilleur véhicule de collection japonais.
